Elle était de haute volée, et portait sur un sujet cher à Professeur Coudray.
Y a-t-il un faisceau de conjonctions dans les goûts qui font ce que l'ont est ? Des goûts apparemment sans liens seraient-il unis par une force pataphysique ? Professeur Coudray avait remarqué que le monde se divisait en 2 catégories : les chatvélothés d'un côté, et les cafémototoutous de l'autre.
A l'issue de notre dernier colloque, ma rigueur scientifique n'a fait qu'un tour, et plutôt que de rester au niveau de "les gens que je croise sont plus comme ci", j'ai pris un pannel représentatif de lecteurs de ce blog qui se sont autodésignés (en fait, plutôt vélodésignés).
Le résultat est plus que probant :
Les ceux-ce qui aiment les chats sont plus thé et vélo. Et ce sont des filles.
Les mecs se retrouvent dans cette bonne grosse moto qui fait plein de bruit et dans les chiens qui les regardent passer en aboyant fort pour avoir leur café. Et ils ne sont pas sur ce blog. Ils sont au bistrot.
Professeur Coudray avait raison.
Bon, une réponse semble semer le trouble dans cette logique, mais le doute est à la source de toute découverte (les gens sûrs sont en dessous de tout).
Ben, je suis content de semer le trouble. Car à l'époque j'étais plutôt "chat, café & clopes" mais j'ai arrêter de fumer depuis.
RépondreSupprimerMoi j'étais plutôt Chat, citronnade et piéton... j'ai choisi ce qui collait le plus... J'aurais du répondre "rien de ça".
RépondreSupprimerTu ne fumes toujours plus ?
...
et maintenant ?