Les festivals sont en premier lieu, des points de rencontre entre les amateurs de BD et leurs auteurs préférés. Ou entre des voyous et des auteurs côtés dont la BD dédicacée vaut un max sur ebay. Ou des lieux où le collectionneur de dédicaces a trouvé le filon inépuisable, troquant sa pioche pour un tabouret pliant et un sac à roulettes.
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De l'autre coté des tables, des dessinateurs préférés remplissent de joie les yeux de leurs fans, des dessinateurs à la mode suent sang et eau pour remplir les étagères super bien classées des dingues de dessins, des dessinateurs de talent rongent leur frein (c'est sûr, un jour ça démarrera pour eux).
En fin de journée, le filon inépuisable est épuisé : il s'est pris 1 h dans la vue, et un cocktail de cocktails (l'eau, c'est pour l'aquarelle).
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Hors de l'enceinte, naissent des litographies sous les doigts de Spig. Le bel artisan, qui donne une réalité à ses dessins, de la même façon que ses voisins de table éditeurs (Charette, La goutière et La cerise).
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donc, tu voulais dire quoi ?