Un entretien avec Sandrine Revel dans ce numéro de printemps de la revue d'écla consacrée au portrait.
mené par Lucie Braud d'un autre monde
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lundi 1 août 2016
samedi 20 décembre 2014
Les KoiKoiKomKiKi des Capucins
À Bordeaux, un atelier de bande dessinée est à la pointe de la modernité participative : esprit collaboratif, openspace, mise en pratique des théories du Care, des Genres et de la Transdisciplinarité, brainstorming permanent, écologie morale, boissons et nourritures bios, engagement citoyen, respect de la différence… Un vrai condensé de la ville du futur.
Faut-il mutualiser ? in éclairs (éclairage numérique) par Christophe Dabitch
Disposer d’un atelier dans un quartier comme celui des Capucins, avec baies vitrées et porte ouverte aux passants, a comme conséquence première la visite régulière de sympathiques inconnus : « Vous réparez toujours les fauteuils ? Vous n'auriez pas vu ma cousine, elle habitait dans le quartier il y a vingt ans mais j’ai perdu son numéro ? Est-ce que mon garçon de trois ans pourrait venir le mercredi après-midi, il dessine bien je trouve ? Vous auriez une cigarette ? Je pourrais me reposer un peu ici ?... » Cela suppose également un accès direct à la vie agitée de la rue : disputes, cris, insultes, dialogues extra-terrestres, phrases délicates de la jeunesse captées à la volée, passages tsunamiesques du bus dans la rue de Labrède… Mais cette situation géographique a aussi ses avantages : cafés au coin de la rue, kebabs, nouilles chinoises, boulangerie, marché des Capucins, vie animée du quartier, voisins artisans, restaurants de toutes origines… En un mot, c’est le Bordeaux que les non-Bordelais n’imaginent jamais et qui fait même peur à certains Bordelais d’autres quartiers.
Faut-il mutualiser ? in éclairs (éclairage numérique) par Christophe Dabitch
Disposer d’un atelier dans un quartier comme celui des Capucins, avec baies vitrées et porte ouverte aux passants, a comme conséquence première la visite régulière de sympathiques inconnus : « Vous réparez toujours les fauteuils ? Vous n'auriez pas vu ma cousine, elle habitait dans le quartier il y a vingt ans mais j’ai perdu son numéro ? Est-ce que mon garçon de trois ans pourrait venir le mercredi après-midi, il dessine bien je trouve ? Vous auriez une cigarette ? Je pourrais me reposer un peu ici ?... » Cela suppose également un accès direct à la vie agitée de la rue : disputes, cris, insultes, dialogues extra-terrestres, phrases délicates de la jeunesse captées à la volée, passages tsunamiesques du bus dans la rue de Labrède… Mais cette situation géographique a aussi ses avantages : cafés au coin de la rue, kebabs, nouilles chinoises, boulangerie, marché des Capucins, vie animée du quartier, voisins artisans, restaurants de toutes origines… En un mot, c’est le Bordeaux que les non-Bordelais n’imaginent jamais et qui fait même peur à certains Bordelais d’autres quartiers.
on y cause de
Alvarez,
Braud,
D'aviau,
Dabitch,
Duclos,
Dumontheuil,
Dupeyrat,
ecla,
éclairages,
flo,
koikoikomkiki,
Labat,
Marco,
Vierge,
Witko
vendredi 2 mai 2014
samedi 15 mars 2014
samedi 1 juin 2013
Lecture dessinée
Alfred est un habitué de ce genre d'exercice.
C'est à chaque fois un spectacle impressionnant... voir l'image se créer sous nos yeux, dont chaque trait raconte une histoire.
C'est à chaque fois un spectacle impressionnant... voir l'image se créer sous nos yeux, dont chaque trait raconte une histoire.
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