mercredi 18 novembre 2009

Les ombres de Guérineau

Joyeux anniversaire !


Richard Guérineau rejoint Prudhomme chez les quarantenaires.

J'aimais bien son trait rond dans L'as de pique. Mais quand est arrivé Le chant des Stryges, j'ai craqué sur Ombre ! Même si le mystère accroche, la série s'étire un peu trop longuement, je trouve. En plus, Corbeyran délaye la sauce (qui a bien pris) avec des séries (produits ?) dérivées.
Son essai hors-série Après la nuit ne m'a pas convaincu, mais surtout, les couvertures qu'il réalise pour des BD qu'il ne dessine pas est le fruit d'une arnaque impardonable, une basse manipulation de marketing... L'auteur de la BD est volé de sa première page, et le lecteur s'attendant à trouver du "Guérineau" à l'intérieur, est plus ou moins déçu (déçu pour ma part).

Tiens, il vient de faire l'affiche pour le festival de Dieppe.

On peut retrouver une entrevue de Guérineau sur scénario.com, et d'autres ailleurs... et des infos sur actuaBD.
Son site de référence n'est pas flambant neuf...
Richard fait quelques clins d'oeil (d'yeux ? je sais jamais) à Tintin, et il prévient dans le #7 du chant qu'il va flinguer ses amis, au milieu desquels, Marc Moreno (avec qui il partageait l'atelier 49bees), qui rend hommage à cette série dans Le régulateur.

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